Fire Down Under
7.6
Fire Down Under

Album de Riot V (1981)

Une merveille

Sorti à la même époque que la NWOBHM ce "Fire down Under" n'a pas eu le succès qu'il méritait, un poil éclipsé par la nouvelle vague de métal venue d'Angleterre.
Pourtant cet album est tout simplement l'un des meilleurs albums de hard rock de tous les temps.
Energie et mélodie y font bon ménage, l'alchimie est parfaite.
Que ce soit pour les morceaux rapides ("Don't hold back", "Don't bring me down", Sword and tequila","Fire down Under"), médium( "Altar of the king") ou plus lent (le sublime "Feel the same"), Riot est à son aise.
Ce que l'on retient en premier c'est la voix magistrale de Guy Sperenza (il fut un temps pressenti chez Metallica) et la fluidité des guitaristes qui se complètent à merveille. Les compositions sont parfaites, rien à jeter.
Après deux bons albums ("rock city" et "Narita") Riot tient avec ce "Fire down Under" une vraie bombe ; malheureusement Sperenza partira rapidement du groupe et les albums suivant seront nettement moins bons
En tout cas il est encore tant de (re)découvrir cette petite perle sortie en 1981 et qui permet à Riot de sortir son album de référence.

9
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes mes chroniques "musique"

Créée

le 27 juin 2018

Critique lue 331 fois

6 j'aime

2 commentaires

nico94

Écrit par

Critique lue 331 fois

6
2

D'autres avis sur Fire Down Under

Fire Down Under
10

Un album qui mer le feu aux poudres

Troisième album studio de Riot, et chef-d’œuvre absolu du groupe et du genre, Fire Down Under sort en 1981 et reçoit une réception critique quasi unanime de la presse spécialisée, ainsi qu’un accueil...

le 22 janv. 2021

4 j'aime

en feu

Je ne me rappelle plus comment cette musique a atterri chez moi, c'est une époque ou on echangait tout ce qui sortait. Bref, vu que ce site doit être un endroit de découverte, j'encourage tous ceux...

Par

le 22 janv. 2018

1 j'aime

Du même critique

Critique de Adieu les cons par nico94

J’avoue que comme pour les films de Kervern/Délépine j’attends toujours les œuvres de Dupontel avec une certaine impatience même si on peut parfois – rarement – avoir de mauvaises surprises (comme...

Par

le 31 oct. 2020

21 j'aime

12

In the Court of the Crimson King
10

à jamais les premiers

Considéré à juste titre comme le premier album de rock progressif (même si Fripp récuse le terme) "in the court of the Crimson king" est aussi le meilleur album du genre, celui qui a donné ses...

Par

le 3 juin 2018

21 j'aime

77

Quelle saloperie la guerre !!

Quelle saloperie la guerre (1). Un monument, cet ouvrage est un monument ! Je vais me contenter d’aborder – et de développer - certains points qui m’ont particulièrement intéressé, quitte à en...

Par

le 4 sept. 2020

18 j'aime

30