Discuter avec une femme, c’est comme quand on se fait arrêter par la Police

Discuter avec une femme, c’est comme quand on se fait arrêter par la Police : tout ce que vous dîtes pourra être retenu et utilisé contre vous !

Regardez bien les images ci-dessus : ce sont les premières qu'on voit dans ce film... Et aussi les dernières à la fin ! Ce qui évoque parfaitement ce récit qui n'a ni queue ni tête et complètement creux...

Entre deux, un vide d'amour sidéral ! Déjà, ce vieux truc des images de début et de fin, c'est éculé tant ça a été utilisé de nombreuses fois... Comme le fish-eye en ces années là et le drone de nos jours...

Pas grand chose à dire ! Récit déconseillé à ceux qui viennent de se faire licencier par leur employeur, recevoir un contrôle fiscal, ne plus avoir qu'un point sur son permis de conduire et manquer d'écraser un flic, voire Stéphane Bern ou Hanouna à la télé (...) : apprêtez-vous à faire le 15 car ce navet va achever de vous "foutre" le bourdon...

Magnéto : Une nana s'est fait plaquer avec ses deux ados , et comme elle est du genre maso, elle prend une troisième source d'emm... avec une nana qui se came, qui clope... et dont évidemment un des rejetons de Charlotte va tomber raide dingue... Toute cette bande chiale, traîne son ennui et génère le nôtre. La vie en 1980 ce n'était pas l'oisiveté et ce triste spectacle !

D'ailleurs qu'est-ce qu'il en sait le réalisateur n'avait qu'alors cinq ans et qui croyait encore au père Noël ? Non, ces années 2020 étaient bien plus riantes que cette sinistrose qu'on nous montre, et encore plus que de nos jours où la guerre menace partout, que et le chômage n'a jamais été aussi florissant et le pouvoir d'achat en berne !

Avec plusieurs scénaristes, on pouvait évidemment s's'attendre à une espèce de pub Ikea sans solution : on achète une armoire et finalement, on se retrouve avec un tabouret.

C'est long, sans âme, lugubre, pénible et avec des plans monotones qui s'éternisent, des images pantouflardes ou cédant à la facilité car presque toujours en huis-clos...

En outre, le présentateur de Arte nous annonce un Hers "cinéaste de la délicatesse et de la pudeur" ? C'est pour nous faire rire ? On en aurait bien besoin d'ailleurs ! Car comme beaucoup de critiques de Presse, il n'a pas dû voir la punition ou faire des copier/ coller des potes... !

Deux scènes de coucheries étalées par le puritain : l'une, hypocrite avec gros plans sur la table de chevet du pieu , mais l'autre avec une Charlotte déchaînée est autrement osée ! Encore qu'on a vu d'elle encore bien plus "hard"... Mais depuis longtemps, les audaces de la belle actrice ne choquent plus et nous montrent un corps qui n'a plus beaucoup de secrets pour nous... Comme celui de votre voisine d'en face quand il fait du soleil sur son balcon.

Il est vrai que comme elle le confiait : " Ma mère était toujours à poil !" Bon je ne vais pas jouer les puritains, mais ces scènes alibis sont ici destinées à meubler, aussi nous sortir de notre torpeur mais pas vraiment nécessaire à l'histoire. Dommage que le talent de la "fille de" soit gâché par des choix de rôles aussi hasardeux... On rêve de voir d'elle des films aussi marrants que sa mère Jane par exemple dans "La moutarde me monte au nez" plutôt qu'éternellement ces tragédies inondées de larmes sentant le formol, et vous inclinant au burn-out... On comprend que son mec se soit tiré !

Ajoutons à ce cauchemar une prise de son détestable, un casting "au rabais" (même Emmanuelle Béart en garçon arrive à être mauvaise) une fin en "queue de boudin" et on comprendra que je ne vais pas me précipiter pour suivre le prochain film de Hers et que nous ne erons pas Noël ensemble...

Ces agers de la nuit sont un cauchemar et font mentir le dicton : "La vie appartient à ceux qui se lèvent tôt, mais est drôlement plus marrante avec ceux qui se couchent tard ! J'ai vraiment détesté ce film prétentieux, pessimiste et nébuleux... Je ne suis pas le seul à avoir fait un phénomène de rejet : 200 776 spectateurs et 32 % de rentabilité... Pourtant, les actrices se baladaient en métro !

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Arte le 13.03.2024- 04.04.2024-