Le début ressemble beaucoup à « La femme de ménage », ce qui a initialement inquiété la lectrice. Emmylou, fille au pair dans une famille riche, vit dans la plus petite chambre et effectue toutes les tâches ménagères. La routine semble similaire, jusqu'au suicide de sa meilleure amie Morgane.
Lewis, l'un des enfants, fréquente un centre mystérieux. Emmylou remarque qu'il semble de plus en plus faible, sans aucun suivi médical. Virginie, son employeuse, ne lui a jamais mentionné un potentiel handicap. Emmylou se sent presque comme une esclave, sans liberté de mouvement.
Contrairement à ses attentes de découvrir Londres, elle reste confinée dans la résidence, perdant progressivement son énergie. Seuls James, le père, et les garçons lui apportent du réconfort. Michael, un voisin chaleureux, pourrait peut-être l'aider à comprendre.
Sidonie Bonnec a créé une intrigue captivante, pleine de questions sans réponse. La narratrice Lison Pennec, avec sa voix douce, incarne parfaitement Emmylou, rendant l'histoire immersive et intrigante.
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