Garde en mémoire, notre au revoir

Ton sourire, ta joyeuseté,
Ne suffit pas à te guérir,
C'est à petit feu que tu meurs.

Envoler est ta vie d'avant,
Pour toi tout n'étais qu'un rêve,
Tu pries pour elle dorénavant,
L'attente ton coeur en trêve.

Tu soignes les apparences,
Faux-semblant, l'âme en souf;
Troublante est ta malchance.

Ton sourire, s'éteins plus tard,
Laissant place à la douleur,
N'y pense plus, puisque tu pars,
Lâche prise, il est l'heure.

Elle ne te retiendra plus,
Pleure son amour révolu,
Puisqu'elle ne peut t'aimer plus.

Puisque c'est ailleurs
Qu'ira mieux battre ton cœur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir

Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous puisque
L'on ne peut t'aimer plus