Même si l'on ne rira pas aux éclats pendant la série, elle a le mérite de s'assumer et de se laisser regarder avec légèreté, les clichés sur la vont de bon train avec un comique de répétition dont on pourrait finir par se lasser, mais ce n'est pas le cas.
Les différents protocoles, pots, fermetures à 17h, primes en tout genre, moqueries de l'accent étranger, sentiment de supériorité ... On trouve tout ! Mais cela se marie à merveille avec l'atmosphère des années 60. A ce sujet les décors, les looks, l'atmosphère qui s'en dégage, tout cela pour un rendu que j'ai trouvé super !
La femme, à l'image de Marie-Jo, pimbêche et cruche renvoie à merveille à l'image que la société d'antan s'en faisait avant de se dévoiler tout au long de la deuxième saison. Exercice somme toute assez classique mais plutôt bien mené.
L'autodérision de cette série l'amène à un côté décalé mais sans pour autant, selon moi, arriver au niveau d'OSS 117 ou Kaamelott, mais globalement c'est plutôt réussi cet exercice de French Bashing.
Créée
le 5 févr. 2021
Critique lue 71 fois
"Nous sommes en 2015 après Jésus Christ. Toutes les séries sont produites par les américains... ...Toutes ?... Non ! Les comédies peuplées d'irréductibles français résistent encore et toujours à...
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le 3 févr. 2016
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Au service de la , voilà un joli titre pour une oeuvre de salubrité créatrice dans un paysage audio-visuel en pleine déliquescence. Un bon scénario, de bons acteurs, des décors simples et...
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le 20 juil. 2018
16 j'aime
Note : texte rédigé avec la saison 2 en tête ; les exemples en sont donc tirés. Cependant, la saison 1 était du même bois. Au service de la est présentée à peu près partout comme une série...
le 31 juil. 2018
15 j'aime
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Seigneur, quelle purge ... Pour commencer, je ne vois pas le lien entre la tribune et l'histoire de Kuba, ça aurait pu être une histoire de n'importe quel jeune d'une cité avec les animosités envers...
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le 3 févr. 2025
2 j'aime
L'image que renvoie le film quant à notre société est assez frappante ! En effet, plus l'on se retrouve à un niveau bas de la tour, moins nous avons de quoi nous nourrir, car ceux du dessus se sont...
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le 21 mars 2020
2 j'aime
[...] Hormis, assurément les cochons et les chiens" Cette phrase se fait l'écho de notre société actuelle, comme l'entièreté de l’œuvre par ailleurs. A l'image de 1984, nous pouvons transposer une...
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le 12 mars 2020
2 j'aime
